Bien le Bonjour Mesdames [PV]

Bien le Bonjour Mesdames

Le vent frai balaye mon pelage oranger. Je soupira devant cette journée qui s'annonçai fort ennuyeuse. Après un faible bâillement, je m'extirpa de la tanière pour allé me chercher de la nourriture. Je n'aime pas rester dans la tanière trop longtemps, ça sent le refermé. Une souris bien juteuse était posé juste devant moi. Je tira sur le bout de ça queue et l'amena jusqu'à ma bouche ou je pus sentir sa délicieuse odeur. Après m'être remplis le ventre avec ce délicieux rongeur, je dévisagea le camps du regard. Presque tout le monde dormaient. Normal, il était très tôt. Je crois que c'est l'une des première fois que je me lève avant tout le monde. Quelque petit miaulement parvinrent à mes oreilles. Leurs propriétaires était logé dans la poupounière. Je me dirigea d'un pas léger vers l'endroit et y découvrit six petite boules de poiles, entourant le corps d'une de mes seul amie.
" Bien le bonjour Madame. Comment vous portez-vous ? "
Mais je perçus d'autre mouvement, à coter. C'est à ce moment là que aperçue une deuxième couveuse, inconnu pour moi, entouré de ses petits.
" Excuser moi. Mesdames ? "

(Mes chatons sont née, donc je crois que tu parles de moi.
2.Mon perso est amoureux de Lion :jesors:)..

Toi, Ruisseau, tu étais bien au chaud dans la pouponnière.
Tes petits, collée contre toi, te réchauffait le coeur.
Du coup, tu ne pensais plus du tout à la guerre.
Tu rayonnais, personne ne t'avait déjà vu si heureuse.
De ta queue, tu caressais Écaille de Vanille, étaler sur le sol plus loin.
Tu lecha tranquillement Croc Chocolatée.
Tu donnais ton lait à Croc de Neige et Croc de Sable.
Écaille de Fumée lui...
Hey...Mais ou était-il ?
Tu te retourna et tu vis le petit perchée sur la tête de ton amie Coeur.
Celui-ci adorait être en hauteur.
Tu vis au loin, un tête familière.
C'était Lion.
Tu perdais tes moyens.
Tes pensées vagabondais.
T'aimais-t-il, lui ?
Vous aviez le même caractère...
Ses paroles te tira de ta tête.
Bien le bonjour, madame, comment vous portez-vous ? Excuser moi. Mesdames ?
Tu souris, médusées.
Toi Ruisseau répondis quelques paroles inutiles et bref.
Tu répondis à la place de Coeur.
Nous allons bien, merci. Une partie de chasse, ça vous dis ?
Tu te leva d'un bond.
Toi, Ruisseau, te souvenut de tes petits.
Tu t'assis en soupirant.
Oublié ce que je viens de dire.
Tu dis ces paroles d'une voix suave.
Tu battit de la queue, un peu frustrée.
Lorsque tu vis Croc de Neige lècher Lion, tu retrouvas ton entrain.
Tu ronronnas, amusées.
Tu regarda un instant Lion dans les yeux.
Tu remarqua que Coeur m'espionnait du coin de l'oeil.
Tu arrêta subitement, gênée.

Coeur lança un regard a Ruisseau.
Ce regard voulait dire "N'essais pas de le cacher devant moi,j'ai très bien compris!"
Je me demandais comment Lion ne pouvait s'en apercevoir...
Sa se trouve,il le savait.
Si sa se trouve,peut être l'aimait t'il lui aussi...?
Enfin.
Coeur fit descendre le petit de sa tête et se leva.
_Je reviens je vais boire un petit peu.
Quand elle sortit de la pouponnière,elle prit un grand bol d'air.
Enfin,elle sortait.
Il étais temps,elle commençait a étouffée dans la pouponnière.
Cependant,elle savait qu'elle devait y rester.
Pour elle aussi,sa serait pour bientôt.
C'est mal de ventre s'aggraver de jour en jour.
Elle se pencha pour lécher la surface lisse de l'eau fraiche et retourna dans la pouponnière.
Coeur se rallongea et une question lui vint en tête.
_Alors,quoi de nouveau depuis? Demanda t'elle a Lion
_Quand la guerre va t'elle éclatée? Continu t'elle

Bien le Bonjour Mesdames

Musique d'ambiance

Je souris devant la proposition de celle qui était à l'instant inconnu et maintenant connue.

" Quand vos petits seront en âge de rester seul ? Je serai ravie "

Je regarda Ruisseau, la magnifique chatte qui m'avait fait cette délicieuse proposition.

" Avez-vous faim ? "

Et sans attendre leurs réponses, je partis choisir deux belles souris bien juteuse.

" Tenez, mangez bien. "

Je souris à Cœur, puis à Ruisseau, dons mon regard resta longtemps posé sur son corps

" Pour répondre à vos questions, tout le monde se préparent pour la guerre qui va bientôt éclater, personnellement, je ne suis pas pour. Je ne vois pas pourquoi nous allons embêter les autres chats de clans. Je ne veux pas perdre des personnes auquel je tiens. Surtout pas inutilement. "

Je regarda les deux chattes. Surtout Ruisseau. Avait-elle compris ?

- Quand vos petits seront en âge de rester seul ? Je serai ravie.

Ses paroles, certes bien normale, te tira de ton hypnotisation.
Lion me regarda.
Tu ne savais pas ce que voulais dire ce regard insignifiant.
-Avez-vous faim ?
Sans attendre vos réponses, il parti chercher deux souris bien grasse.
Tu rigolas intérieurement.
Le regard de Lion fût porté sur ton corps agile et effilée.
Tu n'avais pas grossis d'une miettes depuis que tu avais mis bas.
-Pour répondre à vos questions, tout le monde se préparent pour la guerre qui va bientôt éclater, personnellement, je ne suis pas pour. Je ne vois pas pourquoi nous allons embêter les autres chats de clans. Je ne veux pas perdre des personnes auquel je tiens. Surtout pas inutilement.

Toi, Ruisseau, reçu avec plaisir un regard long et intense.
Tu voulais lui avouer.
C'était dans ta nature.
S'il t'aime, tant mieux.
Si non, tant pis, mais tu seras très triste.
Tout peux arrivée.
Tu répondis à ses 3 questions au lieu de réfléchir comme une folle.
-Bientôt pour ma part. J'ai confiance en eux. Je n'ai pas de dâte exacte. Oui merci pour la souris. J'avais hâte à la guerre, mais depuis que mes petits sont nées... Et comme tu dis, je pourrais risquer de te perdre. Enfin, de perdre mes être.. euh... chères.
Malaise.
Difficile d'être plus subtil.
Tu avais fais une grosse bêtise.
Tu te leva gracieusement, t''approcha un peu de Lion et lui dit des paroles.
-Je peux te parler, un instant ?

Pour plus tard. A Ruikia ♥:

Elle rep pas, donc je continue :$

Après les paroles de ton bien-aimé, tu figeas. Tu hésitas soudainement à lui en parler. Et s'il te rejetait ? Mieu vaut tard que jamais !Tu te lanças.

Écoute... c'est dur à dire... je crois que...

Tu marquas une pause, étouffés par le stresse et l,excitation causé par le moment.

Je... Je t'aime, Lion. dis-tu en reprenant confiance. Mais je ne sais pas si tu ressens la même chose que moi. Et voilà, c'est dit... Je t'aime... Et je comprend que tu... enfin que tu me rejette... Je vais y aller... Désolé du... dérangement.

Tu archas ton corp brillant au soleil, t'aprêttant à partir. Une émotion impossible à déchiffricher perlait dans tes yeux. Tu laissas même rouler une larme sur ta joue. Une larme de joie mélangée à la peur. Tu n'avais jamais ressenti rien de tel. Sûrement l'effet de l'amour. Tu te retourna rapidement, dis d'un tont calme mais gênée.

Et... j'ai besoin d'un père pour me chatons... Tu serais.. papa..

Tu regarda s'écraser ta larme sur ta patte, mouillant ton poil au passage. Tu souris. Tu admirais les larmes, sans raison. Si douce, délicate. Cela te représentait. Toi, mais avant.

Myrtille, Nuit, vous répondez ?...

Bien le Bonjour Mesdames

Musique d'ambiance

Je fus surpris par l'annone de Ruisseau

" Je ... Je ... euh ... "

Je regarda Ruisseau, la magnifique chatte qui m'avait déclaré son amour

" Je suis touché par vos sentiment "

Je m’avança et alla coller mon pelage sur celui de la chatte. Mon coeur bondit fort dans la poitrine quand je me surpris a posé l'ultime question

" Mais qui est le vrai père ? "

Je souris à Ruisseau. Ce n'est pas avec froideur que je lui ai répondu, mais avec une voie chaleureuse pour l’incité à le donné la réponse à cette question

Bien le bonjour mesdames

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Je..je...euh... commença Lion, embarrassé. Je suis touché par vos sentiments. reussit-t-il à dire sans bégayer. C'est tout ? Tu te sentis incroyablement déçu. Il n'avait donc rien d'autre à dire ? Tu essaya de rester calme et sans émotion comme à ton habitude, mais cela ne marchait pas. À bout de nerf, tu vis Lion hésiter. Alors que tu allais repartir et te retourner sans rien dire, ton amant vint se coller contre ton corps. Ton souffle s'accelera lorsque sa fourrure pris contact avec la sienne. Tu fermas les yeux et tu laissas échapper un ronronnement. Toi, Ruisseau, était si bien. Était-t-il possible de figer le temps ? Mais qui est le vrai père ?

Tu fût surprise de la question de Lion. Ton poul prenait de la vitesse. Ta gorge se serra et tu avalas de travers. Devrait-t-elle lui mentir ? Non... ce n'est pas son genre. Pourquoi était-ce si dur d'avouer cela ? Sûrement parce que tu ne veux pas paraître faible, tu ne veux pas du pitié des gens qui t'entoure. Bien qu'il ne soit pas mal intentionné, tu leur crachais souvent au visage. Tes muscles tendu se mirent à trembler de nervosité. Comment allait-t-il réagir ? Il faut aller droit au but disait sa mère. Alors, tu allas droit au but.Un... Un chat errant m'a violé. dis-tu pitoyablement.

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