La guerre est t'elle une bonne chose? [PV Ruisseau et Coeur]

Coeur était assise au bord du ruisseau.
Elle aimait se rendre ici.Surtout en temps ensoleillé car le soleil et l'ombre des arbres rendait son pelage roux flamboyant.
Elle se pencha au dessus de l'eau pour voir son reflet,voir ses yeux bleu refléter dans la douce et fine eau Turquoise.
Elle se posait beaucoup de question.
Elle se demandait se que deviendrais ses petits.
Elle pensait aussi a la guerre qui allait bientôt éclatée...
Elle n'étais pas sure qu'attaquer les 4 clans soit une bonne idée.
Elle avait un mauvais pressentiment.
Elle savait bien que son clan perdrait mais quand elle avait essayer d'en parler personne n'avait voulu l'écouter.
Elle avait peur.
Peur qu'on la tue.
Peur qu'ont tue ses chatons qui d'ici la seront surement nées.
Peur de Perdre.
Coeur ne s'étais jamais sentit a sa place dans se clan.
Elle ne savais pas pourquoi mais elle se sentait mal a l'aise.
Quand elle entendit des bruit de pas derrière elle,elle se retourna et montra les crocs.
Cependant elle se radoucit en voyant arrivée son amie.

_Ruisseau c'est toi.Tu m'a fait peur...

(1.Tu n'as pas posté dans le bon poste... 2. Je ne sais pas la couleur d'écriture de Ruisseau, je changerai si incorrect 3. J'écris avec les « Tu » .)

Tu marchais tranquillement dans la forêt de tes pas léger.
Tu pensais à la guerre qui approchait à grand pas.
Ton regard s'emplit de cruauté.
Tu chassas ses pensées de ta tête, sentant l'odeur de ton amie Coeur au loin.
Tu continua ton chemin, cette fois-ci du côté inverse.
Coeur aimait bien se réfugier sur le Ruisseau Noir.
Toi aussi, tu aimais bien cette endroit.
Tu es nées ici, d'où vient ton nom.
Toi, Ruisseau, savait que Coeur n'était pas à son aise ici.
Elle était contre le combat, au contraire de toi.
Tu n'arrives pas toujours à te contrôler, tu deviens sans-pitié.
Malgré ton caractère, tu as autant d'ami(e)s que d'ennemi(e)s.
Quand enfin tu rejoignis ton amie, tu sursautas.
Coeur te montrait les crocs, une inquietude dans les yeux.
Tu en savait la raison.
Elle soupira, puis souffla:
« -Ruisseau, c'est toi. Tu m'as fait peur... »[

Toi, Ruisseau, souris devant son manque de confiance en elle.
Tu t'approcha lentement, très lentement, puis frotta ton museau contre elle.
Elle aussi allait voir des chatons.
Tu gémis lorsqu'un coup dans le ventre tu reçus.
Tes petits n'allaient pas tarder à voir le jour.
Tu voulais qu'ils soient comme toi : féroce et sans pitié.
Tu étais par contre une chatte douce qui ne parle pas beaucoup.
Tu la fixa dans les yeux, voyant son malaise.
Toi, ruisseau, tu répondit calmement quelques paroles.

« -C'est la guerre qui te terrorisent tant ? Les chats de clans ne méritent même pas de vivre ! »

Tu savais que tu n'allais pas réussir à te tenir.
Tu sautas d'un bond sur un haut rocher.
Tu aperçut une souris.
Tu la fixa férocement, sortit les crocs, sauta et la tua.
Tu la lança dans un trou, sans prendre la peine de remercier qui que ce soit.
Toi, Ruisseau, lança de ta voix suave des paroles rempli d'ambition et de haine.

« -C'est une bonne chose au contraire ! J'ai l'intention de devenir la plus puissante des guerrière ... »

Pourtant, tu savais que tu l'étais déjà.
Tu te mis à sauter d'arbre en arbre.
Tu bandas tes muscles, et tu sauta d'un rocher à l,autre
Ceci aurais pu te couter la vie.
Tu t'en fichais.
Tu te calma, arrêtée par les mals de ventre.
Tu savais que tu aurais beaucoup de chatons.

Mon amie vint s'assoir a mes coter.

-C'est la guerre qui te terrorisent tant ? Les chats de clans ne méritent même pas de vivre !

Elle avait vu juste.Je me demandais comment elle faisait,souvent,elle semblait lire dans mes pensée.Je regarda Ruisseau.Elle,ne semblait pas du tout inquiète pour la guerre,au contraire.Je me demandait comment elle pouvais ressentir une tel impatience alors qu'elle avait des petits.N'a t'elle pas peur que ces petits soient bléssées?

-C'est une bonne chose au contraire ! J'ai l'intention de devenir la plus puissante des guerrière ...

Je fus étonnée de la voire se lever et attrapée une souris que je n'avait pas remarquée.Elle la lanca dans un trou et se mit a sautée de rocher en rocher.Cependant elle s'arreta.Surement a cause d'un mal de ventre ou d'une chose comme cela.

_Tu as tort Ruisseau. Dis je d'une voix forte,calme et assurée.D'une voix qui imitait la voix d'une personne remplie de sagesse

Ruisseau me regarda sans vraiment comprendre.

_Je n'ai pas peur de me battre.Je ne suis pas une chatte domestique.Cependant,j'assume avoir peur.Mais pas pour la guerre.Pour mes petits.Je ne souhaite pas qu'ils soient blaissaient.Je ne le Veux pas.Et je me demande si c'est vraiment une bonne chose d'attaquer les clans.Ils ne nous ont rien fait.

Quand je vis le regard noir qu'elle me lancait,je me tut.Je savait que pour elle,la guerre étais obligatoire.Pour moi,se n'étais qu'une erreur.Nous allions tuer des chats qui ne nous ont rien demander.Nous tuerons des chatons,des couveuses...Tout cela pour quelques bouts de terres.Je ne comprenais pas comment tout le clan de la mort faisait pour aimer les guerres.

_Tu sais...Si jamais nous perdons.Je croit que je préférerais aller vivre dans un clan de la Forêt...Avec mes petits.

Ruisseau me regarda d'un regard dont je ne démasqua pas la signification.Qu''allait t'elle me dire?Après tout,elle savait surement que je ne me sentait pas a ma place dans ce clan.

-Tu as tort Ruisseau
Tu fut surprise par le semblant de confiance que ton amie avait.
-Je n'ai pas peur de me battre.Je ne suis pas une chatte domestique.Cependant,j'assume avoir peur.Mais pas pour la guerre.Pour mes petits.Je ne souhaite pas qu'ils soient blaissaient.Je ne le Veux pas.Et je me demande si c'est vraiment une bonne chose d'attaquer les clans.Ils ne nous ont rien fait.
Je lui lança un regard noir qui voulait tout dire.
Coeur compris.
-_Tu sais...Si jamais nous perdons.Je croit que je préférerais aller vivre dans un clan de la Forêt...Avec mes petits.
Tu n'en croyais pas tes oreilles.
Elle est devenu folle.
Tu cracha furieusement, tu bouillonnais de colère.
Ton coeur s'embrasait et tes larmes coulèrent lentement.
Tu te repris rapidement.
Toi, Ruisseau, souffla quelques paroles.
-Je n'ai pas peur pour mes petits. Je ferai tout pour les protéger, mais il naîtrons avant la guerre, j'en suis sûre et certaine.
Tu en étais sûre, car tu avais d'horribles mal de ventre.
Tu t'étala sur le sol, souffrante.
Toi, Ruisseau, savait qu'il allait naître, et maintenant.
Tu esperait.
Et c'est ce qui arriva.
La première était une chatonne.
Elle était d'une magnifique couleurs sables.
De petites rayures pâles se dessinait sur le long de tout son corps.
Elle gigotait beaucoup.
La petite vena se coller contre toi.
Tu souris devant ce geste.
Deux autres chaton arrivèrent.
L'un était comme toi : argentée aux yeux émeraude.
Malheureusement, celui-ci mourrut à sa naissance.
Tes yeux verts s'emplirent de larmes.
Tu t'en remis vite, tu en avais d'autres.
Le troisième était blanc.
Mais son dos et sa petite tête était de couleurs fumée tigrée noir.
Celui-ci te grimpa sur la tête.
Tu rigolas, très heureuse.
Tu n'avais plus de haine en toi.
Deux autres chatons venaient d'arrivée.
La femelle était blanche, blanche comme la neige.
Un vrai petit ange.
Le mâle aussi était blanc.
Il sentait bon.
Tu les regardas, émerveillée.
Tu oublias même ton amie installer proche de toi.
Tu croyais qu'ils étaient tous là, mais une petite dernière sortit de ton ventre.
Celle-ci trécbucha plusieurs fois, se remit sur pattes et lèchouilla sa maman.
Tu pleurais de joie.
C'est fou comme les chatons rendent heureux
Simplement par de petits gestes mignons.
Tu en avais sept.
Enfin, six, puisque l'un d'eux était mort.
Tu soupiras.
Toi, Ruisseau, les énuméra à Coeur.
-Tu vois là première au pelage roux ? Je l'appèlerai Croc de Sable. Celui brun foncé et blanc, ce sera Écaille de Fumée. En fait, c'est celui sur ma tête. La chatte qui me lèche, celle qui ressemble à un ange, s'appellera Croc de Neige et son frère, Écaille de Vanille. La dernière, c'est Croc de Miel.
Tu entrepris de lècher tes chatons, puis tu lança un regard reconnaissant à ton amie.
Parce qu'elle était là pour toi.
À tes côtés.
À présent, tu avais peur que tes chatons se fassent tuer.
Mais tu allais les protéger.
Tu pris le chaton mort, puis l'enterra proche du Ruisseau.
Tu étais fière que tes petits soient nées aux même endroit que toi.

Ruisseau Semblait ne pas croire ce que je venait de dire.

Elle cracha et semblais sacrément en colère.J'aurais peut être mieux fait de me taire...
Tu cracha furieusement, tu bouillonnais de colère.
Je fut surprise en la voyant pleurer si bien que je m'approcha d'elle.
Cependant,quand elle me vit arrivée,elle ravala ses larmes.Et me souffla.

-Je n'ai pas peur pour mes petits. Je ferai tout pour les protéger, mais il naîtrons avant la guerre, j'en suis sûre et certaine.

Je savais ce qu'elle voulait dire.J'avais remarquée depuis longtemps qu'elle semblait avoir mal.
Puis,surprise,je la vit tombée au sol,souffrante.Aussitôt je me coucha près d'elle.
Elle allait mettre bas.Je savais très bien que sa devait faire un peu mal donc,je décida de rester près d'elle pour l'encouragée au cas ou.
Puis,après quelques minutes,une petite boule de poil arriva.
Elle étais toute petite,d'une belle couleur sable.
La petite chose vena se réchauffée près de Ruisseau,Prés de sa mère.
Se spectacle me réchauffa le cœur.
J'étais pressait que cela m'arrive aussi.
Je sursauta en revenant a la réalités.
Je continua d'encouragée Ruisseau.
2 autres petits naissèrent.
L'un étais d'une belle couleur grise comme Ruisseau.
Malheureusement,celui ci étais trop frêle et mourut.
J'eu les larmes au yeux,j'imaginais le chagrin qu'avait mon amie.
Puis,en voyant d'autres chatons,elle sécha ses larmes.
Un petit Troisième naissa.
Il étais blanc avec un petit peu de noir.
Il monta sur la tête de mon amie,qui elle,rayonnait de bonheur.
Elle en rigolas même.Elle étais calme.
Deux autres chatons arrivèrent.
La femelle était blanche.
Le mâle aussi était blanc.
Ils étaient tellement mignons...
Ruisseau étais heureuse.Elle les contempla longuement.
Devant se spectacle émouvant,j'eu une ou deux larmes de joie.
Puis,un dernier naissas.
Ou plutôt,une dernière.
Celle ci tomba plusieurs fois avant d'aller rejoindre sa mère.
6 Chatons...
Ruisseau étais comblée.
Cependant,je fut surprise de l'entendre soupirée et me demanda a quoi elle avait bien pu penser qui lui gâche presque sa bonne humeur.
Puis,Mon amie se mit a me dire leur noms,ce qui me fit vraiment plaisir.

-Tu vois là première au pelage roux ? Je l’appellerai Croc de Sable. Celui brun foncé et blanc, ce sera Écaille de Fumée. En fait, c'est celui sur ma tête. La chatte qui me lèche, celle qui ressemble à un ange, s'appellera Croc de Neige et son frère, Écaille de Vanille. La dernière, c'est Croc de Miel.

Ruisseau se pencha et lécha ses petits puis,se tourna vers moi,Cœur,Et me lança un regard reconnaissant.
Surement parce que j'avais étais la pour elle.
Ruisseau se leva et prit le petit chaton mort.
Elle l'emporta sur la rive et l'enterra.
Elle devait se souvenir de son enfance.
Elle aussi,étais née ici.
Cœur alla rejoindre son amie et lui fit un câlin amical.

_Et si on rentrées les présentées au camp?Tu veux que je porte Croc de Neige,Écaille de Vanille et Croc de Miel?Tu dois être fatiguée.Vaut mieux que tu n'en porte pas trop,au risque de tombée de fatigue.

Coeur te donna un câlin amical.
Tu souris.
Elle te proposa de t'aider.
-Et si on rentrées les présentées au camp?Tu veux que je porte Croc de Neige,Écaille de Vanille et Croc de Miel?Tu dois être fatiguée.Vaut mieux que tu n'en porte pas trop,au risque de tombée de fatigue.
Effectivement, malgré ton air rayonnant, tu étais épuisée.
Tu lui répondis faiblement, d'une voix anormalement douce.
-Merci, je t'en suis reconnaissante. Je prends Croc de Sable, Écaille de Fumée et Croc Chocolatée.
Tu commença à marcher, trois boules de poils dans le gueule.
Tu savais que ta vie allait changer.
Maintenant que tu les avais vu, tu avais peur pour eux. Pour la guerre.
Tu te demandas soudainement si c'était vraiment une bonne idée.
Tu étais perdue.
Tu osas avouer ceci à Coeur, malgré ton orgueil.
-J'adore la guerre et je ne veux pas la manquer... Mais, j'ai peur. Très peur pour mes petits. Tu avais raisons.
Toi, Ruisseau, continua ton chemin de tes pas lents.
Tu te mis à ronronner sans t'en apercevoir.
Quelques minutes plus tard, vous étiez arrivée au camp.
Tu avais hâte de voir la réaction des autres.
Surtout celle de Lion.
Tu les déposa au sol doucement, leurs donna une lechette réconfortante à chaque.
Tu n'étais pas capable de voiler ton bonheur.

» Le Ruisseau Noir
» Gestation de Ruisseau
» S.O.S, Ruisseau à besoin d'aide ! [RP Libre]
» Ruisseau la cruelle-méchante-sans-pitié-impoli-cracheuse-ect-ect-ect
» Coeur de Noisette